Aujourd’hui, le milieu squat genevois a pratiquement disparu ; de nombreux immeubles ont été évacués pour des raisons politiques, immobilières ou d’aménagement du territoire.
Ces fermetures ont non seulement entrainées des problèmes de logement pour les occupants mais aussi la disparition de nombreux lieux culturels autogérés (buvettes, salles de concert, crèches, bibliothèques, espaces d’exposition, etc).